Communion de l'Olivier

Communion de l'Olivier son histoire

Dans le diocèse de Toulouse, dès 1973, un premier groupe de prière s’est constitué et s’est installé Rue des fleurs. Après quelques mois, il a reçu le nom de « l’Olivier » Au cours des années 1986-1988, plusieurs groupes de prière prennent alors leur essor à partir de frères et soeurs du groupe, jusque là unique, de la rue des Fleurs, qui avait vu le jour quelques 12 ans plus tôt.

Le désir du maintien d'un lien avec ce groupe premier et entre ces groupes se manifeste spontanément, sans plan préétabli, de diverses façons. Et, comme tout naturellement,une sorte de "structure" de communion entre tous ces groupes, , va se mettre en place, peu à peu, dans la prière, le discernement, et parfois dans la douleur, la "Communion de l'Olivier", avec des organes communs d'animation et de responsabilité. Des groupes nés dans d'autres circonstances ont choisi d'entrer aussi, dans « la Communion de l’Olivier »

LE PUITS DE JACOB

Historique

Le service du Puits de Jacob est né en 1986. A cette époque un groupe de prière charismatique se réunissait chez les Jésuites, rue des fleurs, à Toulouse. Après la grande assemblée, de nombreuses personnes restaient pour demander qu’on prie pour eux.

Il était aussi organisé des Célébrations de la Miséricorde au cours desquelles on pouvait également demander la prière des frères.

On a alors constaté qu’il y avait un réel besoin d’écoute et d’accueil. C’est pour répondre à cette demande qu’un Service d’Accueil Spirituel a été mis en place.

Le choix du nom

Le 29 avril 1988, à la fin d’un weekend de formation, simultanément, pendant la prière, des membres de ce service ont reçu dans le cœur, le nom « Puits de Jacob ». Ce nom, adopté à l’unanimité, fait référence à la rencontre de Jésus avec la Samaritaine (Jean 4,7-30)

L’invitation de Jésus à venir boire l’eau vive et à adorer le Père en esprit et vérité, nous permet de mieux comprendre le service des écoutants et des priants. Il précise notre mission, qui se poursuit encore aujourd’hui.